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Masha la sans-utérus
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Masha, la sans-utérus, Raphaël Eymery - Éditions des Lumières

À paraître : Masha, la sans-utérus, Raphaël Eymery

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𝗡𝗢𝗨𝗩𝗘𝗔𝗨𝗧𝗘́ ! 𝗝𝘂𝗹𝗲𝘀 𝗕𝗮𝗿𝗯𝗲𝘆 𝗱’𝗔𝘂𝗿𝗲𝘃𝗶𝗹𝗹𝘆, 𝘾𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙣𝙚 𝙢𝙚𝙪𝙧𝙩 𝙥𝙖𝙨

𝘊𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦 𝘮𝘦𝘶𝘳𝘵 𝘱𝘢𝘴 est à la fois le premier et le dernier roman de Jules Barbey d’Aurevilly (1808-1889). C’est l’œuvre d’une vie, écrite à vingt-sept ans mais publiée à soixante-quinze.

L’auteur des Diaboliques y a mis tout de lui : son génie, son élégance, sa sueur et son sang. Et ses fantasmes : ambivalence sexuelle, adultère, inceste, nécrophilie…

Dans une prose sertie comme une pierre précieuse, le dandy des lettres française signe avec ce huis-clos dans un chateau normand un véritable Memento mori.

« Une fleur de l’art, éclatante et mystérieuse »

Léon Bloy

« Dans Ce qui ne meurt pas, le plus audacieux des écrivains a poussé l’audace jusqu’à des limites que l’on était à peine en droit d’attendre de lui. »

La Marseillaise

Préface de Vigor Caillet

https://editionsdeslumieres.fr/ce-qui-ne-meurt-pas-jules-barbey-daurevilly/

« Cette fois, ce n’étaient plus ni des guêpe

« Cette fois, ce n’étaient plus ni des guêpes, ni des rats, ni des perce-oreilles, ni des orties ; mais il y eut au moins trois araignées d’eau, plusieurs larves qui, devenues libellules, éblouirent tout le comté de Kent avec leur corps de saphir voltigeant, et une végétation gélatineuse et puante qui déborda hors de la flaque et envoya ses ramifications visqueuses jusqu’au milieu de l’allée principale du jardin du Dr. Winkles. »

H. G. Wells, 𝘚𝘰𝘶𝘥𝘢𝘪𝘯… 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘦𝘴

https://editionsdeslumieres.fr/soudain-les-monstres-h-g-wells/

Idée cadeaux de Noël !

Retrouvez 𝘚𝘰𝘶𝘥𝘢𝘪𝘯… 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘦𝘴 de H. G. Wells et 𝘉𝘦𝘭𝘭𝘶𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘗𝘰𝘳𝘤𝘩𝘦𝘳𝘴 de Léon Bloy à la Librairie Galignani, 224 Rue de Rivoli, Paris 1er.

De beaux livres à offrir, également commandables sur le site des Éditions des Lumières et dans toutes les librairies !

editionsdeslumieres.fr

Nouveauté ! 𝘊𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘦 𝘮𝘦𝘶𝘳𝘵 𝘱𝘢𝘴 de Jules Barbey d’Aurevilly aux Éditions des Lumières

https://editionsdeslumieres.fr/ce-qui-ne-meurt-pas-jules-barbey-daurevilly/

Retrouvez 𝘉𝘦𝘭𝘭𝘶𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴

Retrouvez 𝘉𝘦𝘭𝘭𝘶𝘢𝘪𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘗𝘰𝘳𝘤𝘩𝘦𝘳𝘴 de Léon Bloy à la librairie La Procure, place Saint-Sulpice, Paris 6e !

https://editionsdeslumieres.fr/belluaires-et-porchers-leon-bloy/

Retrouvez 𝘘𝘶𝘪 𝘢 𝘱𝘦𝘶𝘳 𝘥’𝘈𝘳𝘯𝘰𝘭𝘥 𝘚𝘤𝘩𝘰𝘦𝘯𝘣𝘦𝘳𝘨 ? de Jérémie Bigorie à la librairie Les cahiers de Colette, 23 rue Rambuteau, Paris 4e

Ainsi qu’à la librairie du Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme, 71 rue du Temple, Paris 3e

https://editionsdeslumieres.fr/qui-a-peur-darnold-schoenberg-jeremie-bigorie/

En ce jour d’Halloween, (re)découvrez le génia

En ce jour d’Halloween, (re)découvrez le génial et terrifiant 𝑆𝑜𝑢𝑑𝑎𝑖𝑛… 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠 d’H. G. Wells, publié par les Éditions des Lumières dans une traduction revue ! 💀🎃

https://editionsdeslumieres.fr/soudain-les-monstres-h-g-wells/

« Schoenberg est un autodidacte, c’est vraiment

« Schoenberg est un autodidacte, c’est vraiment quelqu’un qui s’est façonné lui-même, ce qui rend d’autant plus confondante la maîtrise dont il fait preuve dans son domaine. »

Jérémie Bigorie invité de @francemusique pour 𝑄𝑢𝑖 𝑎 𝑝𝑒𝑢𝑟 𝑑’𝐴𝑟𝑛𝑜𝑙𝑑 𝑆𝑐ℎ𝑜𝑒𝑛𝑏𝑒𝑟𝑔 ? aux Éditions des Lumières

Le replay est à écouter ici : https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/sous-la-couverture/avec-jeremie-bigorie-qui-a-peur-d-arnold-schoenberg-1874-1951-editions-des-lumieres-9164406

𝑄𝑢’𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙

𝑄𝑢’𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑑𝑦 ? de Charles Baudelaire, aux Éditions des Lumières, est chez Hermès, 17 rue de Sèvres, Paris 6e 🥂🤵🏻‍♂️

#Baudelaire #dandy #bookstagram

« Si je parle de l’amour à propos du dandysm

« Si je parle de l’amour à propos du dandysme, c’est que l’amour est l’occupation naturelle des oisifs. Mais le dandy ne vise pas à l’amour comme but spécial. Si j’ai parlé d’argent, c’est parce que l’argent est indispensable aux gens qui se font un culte de leurs passions; mais le dandy n’aspire pas à l’argent comme à une chose essentielle ; un crédit indéfini pourrait lui suffire ; il abandonne cette grossière passion aux mortels vulgaires. Le dandysme n’est même pas, comme beaucoup de personnes peu réfléchies paraissent le croire, un goût immodéré de la toilette et de l’élégance matérielle. Ces choses ne sont pour le parfait dandy qu’un symbole de la supériorité aristocratique de son esprit. »

Charles Baudelaire – 𝑄𝑢’𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑑𝑦 ?
@editionsdeslumieres + @massimilianomocchiadicoggiola + @quenteu
(📸 @hannibalvolkoff)

https://editionsdeslumieres.fr/quest-ce-que-le-dandy-charles-baudelaire/

#CharlesBaudelaire #dandy #dandysme #bookstagram

Des auteurs et des lecteurs hier soir pour les Éd

Des auteurs et des lecteurs hier soir pour les Éditions des Lumières à la @vanitiesgallery !

Merci à @barbarantolivier, Jérémie Bigorie, Catherine Helbert, @massimilianomocchiadicoggiola et @jeanlouis.poitevin pour leur présence.

editionsdeslumieres.fr
#bookstagram

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ – 𝐋𝐞́𝐨𝐧 𝐁𝐥𝐨𝐲, 𝑩𝒆𝒍𝒍𝒖𝒂𝒊𝒓𝒆𝒔 𝒆𝒕 𝑷𝒐𝒓𝒄𝒉𝒆𝒓𝒔

Voici un pamphlet incandescent. Avec 𝐵𝑒𝑙𝑙𝑢𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑃𝑜𝑟𝑐ℎ𝑒𝑟𝑠, Léon Bloy (1846-1917), catholique acharné, écrivain sans le sou, brandit le glaive. Les belluaires, ces farouches gladiateurs romains, sont son modèle, et les porchers, qui conduisent les bêtes à la boue, sa hantise.

Ainsi ce chercheur d’Absolu pourfend les médiocres et les mécréants. En apôtre des pauvres et des humiliés, il assassine les fausses gloires et prend la défense des poètes injustement excommuniés.

Dans ces pages, il appelle à comparaître entre autres Lautréamont (« Pauvre rastaquouère sublime ! »), Alphonse Daudet (« un amas de fumier »), Edmond de Goncourt (« un volatile parvenu »), Ernest Renan (« ce pédant célèbre »), Gustave Flaubert (« ce lamentable colosse »), Barbey d’Aurevilly (« le maître imagier de la Désobéissance »), Ernest Hello (« cette merveilleuse rareté qu’on appelle une âme »), Paul Verlaine (« ce puissant poète agité d’absolu »), Paul Bourget (« ce fendeur de poils et cet englueur d’atomes »), ou encore Maurice Barrès (« cet amoureux de lui-même »)…

Sa verve prodigieuse, sa rage mystique, Bloy les met ici au service d’une vision charnelle de l’art et de la foi, contre toutes les bien-pensances.

https://editionsdeslumieres.fr/belluaires-et-porchers-leon-bloy/

#LéonBloy #bookstagram

Charles Baudelaire – 𝑄𝑢’𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑑𝑦 ? Éditions des Lumières

https://editionsdeslumieres.fr/quest-ce-que-le-dandy-charles-baudelaire/

#CharlesBaudelaire #dandy #dandysme #bookstagram

« Le dandysme, qui est une institution en dehors

« Le dandysme, qui est une institution en dehors des lois, a des lois rigoureuses auxquelles sont strictement soumis tous ses sujets, quelles que soient d’ailleurs la fougue et l’indépendance de leur caractère. »

Charles Baudelaire – 𝑄𝑢’𝑒𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑑𝑦 ? @editionsdeslumieres + @antoine.nitkowski

https://editionsdeslumieres.fr/quest-ce-que-le-dandy-charles-baudelaire/

#CharlesBaudelaire #dandy #dandysme #bookstagram

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ - 𝐌𝐚𝐮𝐫𝐢𝐜𝐞 𝐒𝐚𝐜𝐡𝐬, 𝐴𝑙𝑖𝑎𝑠

Maurice Sachs (1906-1945) est un salaud. Homosexuel notoire, il fut menteur, voleur, imposteur, escroc, collabo quoique juif, et traître à la patrie.

Mais il fut aussi mondain, séminariste, dandy de quatre sous et écrivain aux quatre vents. L’un des premiers et des seuls chroniqueurs de son temps à oser, avec une verve rare, conter les mœurs pédérastiques de l’entre-deux-guerres.

Voici 𝐴𝑙𝑖𝑎𝑠, son premier roman, édité pour la première fois en version complète avec sa deuxième partie introuvable, 𝐶ℎ𝑟𝑜𝑛𝑖𝑞𝑢𝑒 𝑗𝑜𝑦𝑒𝑢𝑠𝑒 𝑒𝑡 𝑠𝑐𝑎𝑛𝑑𝑎𝑙𝑒𝑢𝑠𝑒. Dans cette autofiction avant l’heure, qui annonce 𝐿𝑒 𝑆𝑎𝑏𝑏𝑎𝑡 et 𝐿𝑎 𝐶ℎ𝑎𝑠𝑠𝑒 𝑎̀ 𝑐𝑜𝑢𝑟𝑟𝑒, Sachs apporte le témoignage hilarant et téméraire d’une vie de faux luxe et de vraie luxure.

Ce margoulin de la littérature y canarde les niais, les riches, les hypocrites, les plumitifs ; il se rit des gloires de l’époque, des curés qu’il berne, mais aussi de lui-même… Car 𝐴𝑙𝑖𝑎𝑠 est un autoportrait d’autant plus savoureux qu’il est sans complaisance. De quoi requérir, pour son auteur, les circonstances atténuantes ?

𝐏𝐫𝐞́𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐂𝐚𝐭𝐡𝐞𝐫𝐢𝐧𝐞 𝐇𝐞𝐥𝐛𝐞𝐫𝐭.

https://editionsdeslumieres.fr/alias-maurice-sachs/

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ - 𝐉𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐢𝐞 𝐁𝐢𝐠𝐨𝐫𝐢𝐞, 𝑸𝒖𝒊 𝒂 𝒑𝒆𝒖𝒓 𝒅'𝑨𝒓𝒏𝒐𝒍𝒅 𝑺𝒄𝒉𝒐𝒆𝒏𝒃𝒆𝒓𝒈 ?

Cette fin d’année 2024 marque le 150e anniversaire de la naissance d’Arnold Schoenberg.

Quand il commence à composer à l’âge de dix-neuf ans, le viennois Arnold Schoenberg (1874-1951) n’a reçu aucune formation musicale. Un tel exemple d’autodidactisme, à un tel niveau, reste sans équivalent dans l’histoire des arts. En résulte un langage neuf dont les retombées seront décisives.

Schoenberg passe pour le compositeur le plus important du siècle dernier aux côtés d’Igor Stravinsky (1882-1971). Mais là où l’œuvre du Russe se concilie les faveurs des interprètes et du public, celle du Viennois rencontre, plus de soixante-dix ans après sa mort, une réticence voire une hostilité toujours aussi vivace.

C’est pour briser les lieux communs et mieux faire connaître Schoenberg que Jérémie Bigorie, diplômé en musicologie (Sorbonne Paris IV) et journaliste à Classica et concertonet.com, a composé ce dictionnaire en 72 entrées.

Avec humour et pédagogie, il s’attache à recontextualiser l’homme, sa vie, son œuvre, permettant aux amateurs comme aux connaisseurs de les redécouvrir.

https://editionsdeslumieres.fr/qui-a-peur-darnold-schoenberg-jeremie-bigorie/

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ – 𝐀𝐧𝐝𝐫𝐞́ 𝐆𝐢𝐝𝐞, 𝑳𝒆𝒔 𝑵𝒐𝒖𝒓𝒓𝒊𝒕𝒖𝒓𝒆𝒔 𝒕𝒆𝒓𝒓𝒆𝒔𝒕𝒓𝒆𝒔 – 𝐩𝐫𝐞́𝐟𝐚𝐜𝐞 𝐝’𝐎𝐥𝐢𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐁𝐚𝐫𝐛𝐚𝐫𝐚𝐧𝐭

Véritable évangile du désir, ce livre de 1897 évite le ronflement solennel des liturgies parce qu’il est chaque fois traversée par de l’inattendu : l’ouverture aux paysages, aux êtres comme aux choses, le soulèvement de la joie, l’imprévisible des rencontres, le choc d’être au monde, l’éblouissement des contacts, la splendide nudité des matières, des ciels et des peaux constituent un idéal, pour lequel il s’agit de « s’user d’amour ».

La langue de Gide, mince, assumant le ras de prose dans des vers un peu ténus, a la beauté des fleurs sauvages, des fruits âpres. Elle a l’acidité un peu grêle des sons du clavecin.

En empruntant aux textes qu’on dit sacrés, André Gide (1869-1951) rivalise dans Les Nourritures terrestres avec la délicieuse profusion de la vie.

Olivier Barbarant

Les Nourritures terrestres, suivi de Les Nouvelles Nourritures, préface d’Olivier Barbarant

https://editionsdeslumieres.fr/les-nourritures-terrestres-andre-gide/

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ – 𝐇. 𝐆. 𝐖𝐞𝐥𝐥𝐬, 𝑺𝒐𝒖𝒅𝒂𝒊𝒏… 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒐𝒏𝒔𝒕𝒓𝒆𝒔

Deux scientifiques, Bensington et Redwood, mettent au point presque par hasard un nouvel aliment. Sa spécificité ? Il stimule considérablement la croissance de l’organisme. Quelle prometteuse invention !

Les problèmes commencent lorsque 𝑙𝑎 𝐵𝑜𝑢𝑚𝑏𝑜𝑢𝑓𝑓𝑒, comme la surnommeront les journaux, se trouve répandue par erreur auprès de toutes sortes d’êtres vivants.

𝑆𝑜𝑢𝑑𝑎𝑖𝑛… 𝑙𝑒𝑠 𝑚𝑜𝑛𝑠𝑡𝑟𝑒𝑠, génial roman d’H. G. Wells (1866-1946) porté à l’écran en 1976 avec un vif succès, était introuvable. Le voici dans une traduction revue.

À la science fiction visionnaire, Wells superpose un drame politique terriblement contemporain sur la peur de l’autre, sur l’ordre social et sa contestation.

Un coup de génie du « Jules Verne anglais », tour à tour passionnant, drôle et terrifiant.

https://editionsdeslumieres.fr/soudain-les-monstres-h-g-wells/

𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔𝐓𝐄́ — 𝐂𝐡𝐚𝐫𝐥𝐞𝐬 𝐁𝐚𝐮𝐝𝐞𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝑸𝒖’𝒆𝒔𝒕-𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒆 𝒅𝒂𝒏𝒅𝒚 ?

« Le dandysme est une institution vague, aussi bizarre que le duel. »

Charles Baudelaire (1821-1867), maître de l’élégance et de la provocation, érige le dandysme en philosophie de vie.

Ses poèmes, ses critiques d’art et ses écrits intimes révèlent une quête perpétuelle du beau — jusque dans l’abjection —, défiant la vulgarité de l’époque.

Les textes de Baudelaire ici réunis se lisent comme une riposte à la muflerie des temps présents.

Commandable chez votre libraire, sur Fnac, Amazon, ou encore sur notre site => https://editionsdeslumieres.fr/quest-ce-que-le-dandy-charles-baudelaire/

Retrouvez 𝐿𝑒𝑠 𝑃𝑟𝑒́𝑑𝑎𝑡𝑒𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑚𝑒𝑟 de H. G. Wells à la Fnac Saint-Lazare, Paris 9e 🥇

https://editionsdeslumieres.fr/les-predateurs-de-la-mer-et-autres-nouvelles-etranges-h-g-wells/

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